Pose-toi quelques instants pour contempler ta vie, et tu réaliseras qu’elle n’est pas à la hauteur de ce qu’elle devrait être.
Tu aspires certainement à combler un vide qui ne se fait que trop sentir depuis quelques temps, peut-être même depuis des années ; tu constates avec larmes et regrets que tu es un esclave : esclaves de tes émotions chaotiques, de tes passions désordonnées, esclave de ce que tu possèdes, esclave surtout d’un système qui t’oblige à adopter un style de vie insensée.
Tu as beau regarder dans tous les sens, tu ne trouves aucune consolation, aucune source de paix et de joie véritable ; tes relations même te sembles peut-être toxiques mais tu ne sais pas comment les arrêter.
Tu es à la recherche de connexions profondes et véritables, d’idéaux plus nobles que ces mondanités que tu ne supportes plus.
Peut-être haïs-tu cette vie et te haïs-tu toi-même de ne pas réussir à être heureux.
Mon frère, ma sœur, je suis venu t’apporter une bonne nouvelle : ton mal n’est pas incurable, la vie n’est pas insensée, et j’ai peut-être même une partie du remède pour soigner le mal qui te ronge.